Le président de La Réserve fédérale (FED), Jerome Powell, a récemment envoyé un message clair lors d'une conférence de presse : le taux de chômage deviendra l'indicateur clé déterminant l'orientation de la politique monétaire. Cette déclaration a suscité un large intérêt et des discussions sur les marchés financiers.
L'attitude de Powell peut être qualifiée de claire, il considère le taux de chômage comme un facteur clé pour évaluer l'état de l'économie. Cela signifie que si le taux de chômage reste à un niveau bas, la probabilité d'une baisse des taux en septembre sera considérablement réduite. Cette position transmet en réalité un message clair au marché : dans un contexte de marché de l'emploi solide, espérer une politique monétaire accommodante pourrait n'être qu'un vœu pieux.
Il est à noter que, bien que Powell ait mentionné le ralentissement de la croissance de la consommation, la faiblesse de la croissance du PIB et d'autres indicateurs économiques, ces facteurs semblent avoir perdu de leur importance dans le cadre décisionnel actuel. Il place le taux de chômage en première position, ce qui suscite de nombreuses spéculations et inquiétudes sur le marché.
Cependant, au sein de La Réserve fédérale (FED), il n'y a pas unanimité. Des rapports indiquent que certains responsables de La Réserve fédérale (FED) expriment leur mécontentement face à la position ferme de Powell, appelant publiquement à adopter une politique monétaire plus accommodante. Cette divergence interne est rare dans l'histoire de La Réserve fédérale (FED) et reflète la complexité de la situation économique actuelle ainsi que la difficulté des décisions.
La raison pour laquelle Powell peut maintenir sa position est en grande partie due au marché de l'emploi relativement stable actuellement. Des politiques d'immigration strictes ont limité l'afflux de main-d'œuvre étrangère, soutenant dans une certaine mesure les données sur l'emploi. Cependant, la question de savoir si cette stabilité apparente peut se poursuivre reste un point à suivre.
Avec l'évolution constante de l'environnement économique, l'orientation des politiques de La Réserve fédérale (FED) continuera de toucher les nerfs des marchés financiers mondiaux. Les investisseurs et les économistes doivent suivre de près l'évolution des indicateurs clés tels que le taux de chômage pour mieux anticiper l'orientation future de la politique monétaire.
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GateUser-ccc36bc5
· Il y a 10h
Héhé, on joue avec un singe.
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DataChief
· Il y a 19h
La Réserve fédérale (FED) n'a pas fait de gros mouvements, BTC doit encore rester à plat.
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GasWaster69
· Il y a 19h
Pas d'espoir de baisse des taux.
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UnluckyMiner
· Il y a 19h
chute麻了 Puissance de calcul过剩 还降息个锤子
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SatoshiChallenger
· Il y a 19h
Le taux de chômage est vraiment stable ? Attendez de voir la vague de licenciements.
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metaverse_hermit
· Il y a 19h
Que se passe-t-il ? Je ne comprends pas. Pas de baisse des taux d'intérêt, alors on liquide.
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OneBlockAtATime
· Il y a 19h
Seul le discours de Powell ne suffit pas, même en interne, ils ne sont pas convaincus.
Le président de La Réserve fédérale (FED), Jerome Powell, a récemment envoyé un message clair lors d'une conférence de presse : le taux de chômage deviendra l'indicateur clé déterminant l'orientation de la politique monétaire. Cette déclaration a suscité un large intérêt et des discussions sur les marchés financiers.
L'attitude de Powell peut être qualifiée de claire, il considère le taux de chômage comme un facteur clé pour évaluer l'état de l'économie. Cela signifie que si le taux de chômage reste à un niveau bas, la probabilité d'une baisse des taux en septembre sera considérablement réduite. Cette position transmet en réalité un message clair au marché : dans un contexte de marché de l'emploi solide, espérer une politique monétaire accommodante pourrait n'être qu'un vœu pieux.
Il est à noter que, bien que Powell ait mentionné le ralentissement de la croissance de la consommation, la faiblesse de la croissance du PIB et d'autres indicateurs économiques, ces facteurs semblent avoir perdu de leur importance dans le cadre décisionnel actuel. Il place le taux de chômage en première position, ce qui suscite de nombreuses spéculations et inquiétudes sur le marché.
Cependant, au sein de La Réserve fédérale (FED), il n'y a pas unanimité. Des rapports indiquent que certains responsables de La Réserve fédérale (FED) expriment leur mécontentement face à la position ferme de Powell, appelant publiquement à adopter une politique monétaire plus accommodante. Cette divergence interne est rare dans l'histoire de La Réserve fédérale (FED) et reflète la complexité de la situation économique actuelle ainsi que la difficulté des décisions.
La raison pour laquelle Powell peut maintenir sa position est en grande partie due au marché de l'emploi relativement stable actuellement. Des politiques d'immigration strictes ont limité l'afflux de main-d'œuvre étrangère, soutenant dans une certaine mesure les données sur l'emploi. Cependant, la question de savoir si cette stabilité apparente peut se poursuivre reste un point à suivre.
Avec l'évolution constante de l'environnement économique, l'orientation des politiques de La Réserve fédérale (FED) continuera de toucher les nerfs des marchés financiers mondiaux. Les investisseurs et les économistes doivent suivre de près l'évolution des indicateurs clés tels que le taux de chômage pour mieux anticiper l'orientation future de la politique monétaire.